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Guillaume Clergeau, Expert-Comptable, Cabinet Guillaume Clergeau

À la tête de son propre cabinet à Rezé en Loire-Atlantique depuis 2016, Guillaume Clergeau nous partage sa vision de MEG en comptabilité de trésorerie, et ce qui pourrait le pousser à l’adopter.

Pouvez-vous nous présenter votre cabinet ?

Nous sommes basés à Rezé, en Loire-Atlantique. J’ai créé le cabinet en 2016, en rachetant une clientèle à mon précédent employeur. Le cabinet s’est ensuite développé. Nous comptons aujourd’hui 8 collaborateurs. 

Qui sont vos clients ? 

Nous avons un positionnement généraliste assez traditionnel : artisans, commerçants, SCI… Le cabinet compte environ 260 clients.  

Depuis quand travaillez-vous avec les outils de la gamme RCA ? 

Au moment de m’installer, je me suis rapproché de Franck Martin, expert-comptable de la région nantaise, lui aussi, qui utilisait les solutions RCA. Nous avons pu échanger ensemble sur son retour d’expérience des outils.  

Ensuite, nous avons nous-mêmes « pris le pli », et adopté Facturation, Bilan imagé®, puis MEG (Mon Expert en Gestion) …

MEG nous permet notamment de proposer un outil de gestion gagnant-gagnant pour le client comme pour le cabinet. Il inclut la facturation, les notes de frais, une vision sur les achats, les données de gestion au quotidien de l’entreprise, etc. 

Aujourd’hui, plus de la moitié de nos clients sont sur MEG. Et nous y traitons quasiment tous les BNC. Mais pour le moment, nous n’imposons pas nos outils à nos clients. 

Comment expliqueriez-vous la comptabilité de trésorerie améliorée que propose RCA via MEG ? 

J’ai compris que cette nouvelle approche permettait de dépasser la dichotomie classique entre la comptabilité d’engagement (comptabiliser toutes les opérations, payées ou non), et la comptabilité de trésorerie (comptabiliser les flux effectifs entrants et sortants de trésorerie). 

Cette comptabilité simplifiée, si je ne me trompe pas, permet ainsi de se comporter durant l’année en comptabilité de trésorerie, et de recomposer les engagements en fin d’exercice.

Où en êtes-vous de son adoption ? 

Nous en sommes encore au stade de la réflexion ! Mais il y a de fortes chances pour que nous l’adoptions. 

Qu’est-ce qui pourrait vous pousser vers la comptabilité de trésorerie ? 

Comme beaucoup de confrères, nous avons une vraie difficulté à collecter l’exhaustivité des pièces d’achats auprès de nos clients, pour disposer d’indicateurs à jour, tout au long de l’année. 

Je pense que ce type de comptabilité pourrait donc nous faciliter la tâche au quotidien, en ayant de l’information fiable plus rapidement et plus facilement. Nous pourrions ainsi la retranscrire plus efficacement à nos clients. Ils disposeront d’une comptabilité plus dynamique, actualisée en permanence. 

L’idée est de gagner en simplicité, tout en restant à iso-qualité. C’est ce juste équilibre qui m’intéresse. 

Qu’est-ce que cela changera en interne dans votre cabinet selon vous ? 

Ce sera une façon de travailler plus dynamique et plus simple pour les équipes. 

Je pense que cela changera bénéfiquement le mode de fonctionnement en interne, et notamment le rythme de travail tout au long de l’année. 

De manière générale, je suis toujours intéressé par ce qui bouge. J’essaie de rester en alerte sur les pratiques qui évoluent. Car il y a sans aucun doute de très bonnes choses à prendre dedans. 

Quels profils de clients imagineriez-vous passer en comptabilité de trésorerie ? 

Je pense que tous nos clients, dans la limite des seuils légaux autorisés, pourraient passer en comptabilité de trésorerie. Je n’ai aucun doute sur leur capacité à l’adopter : ils sont satisfaits si nous leur proposons une méthode de fonctionnement probante et récurrente. Ils se soucient peu de la « machinerie » derrière. 

Et du côté de votre équipe, comment imaginez-vous l’acceptation de cette nouvelle approche ? 

Si nous parvenons à mettre en place une méthode quasi-identique pour tous les dossiers, qui les soulage véritablement au quotidien… je pense que cela ne pourra que les convaincre d’y aller ! Je ne m’attends pas à des réticences particulières. 

Merci Guillaume !